Many families in our communities are questioning how their faith interacts with genetic science.

For instance, Frank and Julie are planning on having a child, but before conceiving they want to undergo genetic screenings to discover the chances they have of passing on a genetic disorder to their children. Neither wants to have an abortion. If there is a high risk of a genetic disorder they plan not to conceive, but to adopt. Is this ‘playing God’? If your partner has a history of deafness in their family, should you consider genetic testing?

Scenarios like these are addressed in a new resource from the Canadian Council of Churches’ Biotechnology Reference Group, “When Christian Faith and Genetics Meet.” It offers five case-study modules based on topics in genetics, as well as very basic introduction to genetics and genetic technology.
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Bien des familles de nos communautés s’interrogent sur l’interaction entre leur foi et la génétique.

François et Julie, par exemple, ont l’intention d’avoir un enfant, mais avant la conception, ils veulent se soumettre à des criblages génétiques, pour savoir s’ils risquent de transmettre une maladie génétique à leurs enfants. Ni l’un, ni l’autre ne veut d’avortement. S’il y a un risque élevé de maladie génétique, ils prévoient l’adoption plutôt que la conception. S’agit-il là de « se prendre pour Dieu »? Si votre partenaire a des antécédents familiaux de surdité, devriez-vous envisager un test génétique?

On envisage ce genre de scénarios dans un nouveau document du Groupe consultatif sur la biotechnologie du Conseil Canadien des Églises, « Quand la religion chrétienne et la génétique se rencontrent ». On y présente cinq modules d’études de cas fondés sur des aspects génétiques, de même qu’une introduction très fondamentale à la génétique et à la technologie génétique.
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