Nouvelles internationales

 — Sept. 30, 200530 sept. 2005

Margaret O’Gara a été élue vice-présidente de la Catholic Theological
Society of America
le 10 juin 2005. Mme O’Gara enseigne la théologie à
l’Université St. Michael’s College, Toronto School of Theology. Elle est impliquée dans
le mouvement œcuménique depuis 1976 et fait partie de la Commission internationale
luthérienne-catholique sur l’unité, la Commission internationale disciples du
Christ-catholique pour le dialogue et le Dialogue luthérien-catholique des États-Unis.
La société professionnelle des professeurs de théologie canadiens et américains, qui
compte 1 400 membres, sert d’organisme de classification d’études académiques et
d’analyse des nouveaux développements en théologie. ( Traduit de The Catholic
Register
 )

Le pape Benoît XVI a rappelé son engagement à promouvoir l’unité
chrétienne
en accueillant le pasteur Samuel Kobia, secrétaire-général du
Conseil œcuménique des ÉglisesConseil œcuménique des Églises a déclaré à la
délégation du COE : « Au tout début de mon Pontificat, j’ai déclaré que je
prenais comme « premier engagement de travailler sans épargner mes forces à la
reconstruction de l’unité pleine et visible de tous les fidèles du Christ ». Il a
rappelé que « L’engagement de l’Église catholique en vue de la recherche de
l’unité chrétienne est irréversible. » Le pasteur Kobia a exprimé au Pape la
nécessité pour les chrétiens de renforcer la base spirituelle commune de leur
coopération et d’offrir ensemble au monde un lieu stable de « clarté morale et de
confiance au coeur du paysage humain turbulent d’aujourd’hui, fait de valeurs mouvantes,
d’espoirs incertains et d’engagements fragiles ». Il a invité les communautés
chrétiennes à faire plus pour former leurs membres à l’œcuménisme et a demandé que
la Commission foi et constitution du COE, qui comprend des représentants du Vatican, se
penche sur la question des structures ecclésiales et sur ce que signifie être
« Église ». Le pape Benoît n’a pas répondu directement à cette demande,
mais a dit qu’une importante consultation du Groupe de Travail commun aura lieu en
novembre, ajoutant : « Je forme des voeux et des prières afin que son objectif
et que sa méthode de travail soient ultérieurement clarifiés, en vue d’une
compréhension, d’une coopération et d’un progrès œcuméniques toujours plus
efficaces. » ( Traduit de The Catholic Register )

Des représentants du Vatican et de la communion anglicane se sont mis
d’accord pour reprendre les travaux de la « Commission internationale anglicane —
catholique romaine pour l’unité et la mission ». Les rencontres de la commission ont
été suspendues en 2003 à la suite de l’ordination d’un évêque ouvertement homosexuel
au sein de l’Église épiscopalienne des États-Unis et de la décision du diocèse
anglican de New Westminster, au Canada, de bénir les unions homosexuelles. Le 9 mai, sur
le site web du Vatican, le Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens
annonçait que la réaffirmation de l’enseignement chrétien sur l’homosexualité par les
primats de la communion anglicane, ainsi que les efforts pour trouver des moyens de
s’assurer que les diocèses ne violent pas les liens de la communion sont « une base
pour la poursuite du dialogue et de la coopération œcuménique ». Bien que les
travaux de la commission aient été suspendus en 2003, une sous-commission du groupe a
été mise sur pied « pour réfléchir ensemble sur les questions
ecclésiologiques » qui ont été créées. La sous-commission a étudié les
questions de la signification de l’unité ou communion à l’intérieur de l’Église, de
l’exercice de l’autorité, de la possibilité de changements ou d’adaptation des pratiques
traditionnelles et enseignements moraux de l’Église, et du fondement de l’autorité pour
l’interprétation des Écritures. ( Traduit de The Catholic Register )

La Consultation théologique orthodoxe-catholique romaine d’Amérique du Nord
a poursuivi la discussion sur l’autorité et la gouvernance lors d’une rencontre au
séminaire de théologie Saint-Vladimir, à Crestwood, N. Y., du 6 au 8 juin dernier, sous
la coprésidence du métropolite grec orthodoxe Maximos de Pittsburgh et de l’archevêque
catholique Daniel Pilarczyk de Cincinnati. Les théologiens et représentants d’Églises
ont échangé des informations sur les événements principaux de la vie de leurs Églises
respectives et tenu des débats théologiques axés sur les questions de primauté et de
conciliarité. ( Traduit de Catholic News Service )

En Angleterre, le collège jésuite Heythrop va s’impliquer de plus en
plus dans la formation du clergé anglican. À compter de septembre 2006, le collège, qui
fait partie de l’université de Londres, va offrir la maîtrise en théologie anglicane.
Selon le directeur du collège, le père John McDade, cette maîtrise serait le seul cours
du genre dans le pays. « J’ai remarqué que de plus en plus de prêtres anglicans
venaient étudier chez nous après leur ordination » a-t-il dit, ajoutant que près
de la moitié des étudiants de maîtrise en pastorale sont anglicans. ( Traduit de The
Tablet
 )

L’école primaire du Hand in Hand de Jérusalem ( Centre
éducatif judéo-arabe en Israël ), où des enfants de religions différentes
étudient ensemble, ne ressemble à aucune autre dans cette ville ethniquement et
religieusement diverse. Ici, des enfants juifs, musulmans et chrétiens étudient ensemble
littéralement main dans la main. Bien qu’il n’y ait pas de séparation légale de la
religion et de l’État en Israël, les enfants juifs et arabes, musulmans ou chrétiens,
vont rarement ou pas du tout à la même école ensemble. Deux écoles — une à
Jérusalem, l’autre en Galilée — ont été fondées en 1997 par Lee Gordon et Amin
Khalaf, Israéliens d’origine juive et arabe respectivement. Une troisième école, dans
le village arabe de Wadi Ara, a été ouverte en 2004. Ensemble, les écoles comptent plus
de 500 élèves. Ce qui est unique dans ces écoles, c’est leur engagement total envers
l’égalité. L’horaire scolaire est partagé également entre le christianisme, l’islam et
le judaïsme, tout comme entre l’hébreu et l’arabe. En quelques années les élèves
deviennent plus ou moins bilingues et ont une bonne connaissance des fondements de
l’islam, du judaïsme et du christianisme. En dépit des tensions inhérentes à un
programme qui réunit un groupe de personnes aussi diversifié, avec parfois des
aspirations nationales conflictuelles, les écoles ne craignent pas d’aborder la
politique. Selon Dalia Peretz, codirectrice de l’école de Jérusalem, « Lorsque
nous traitons d’un sujet, nous l’abordons de deux points de vue. Les enfants peuvent dire
ce qu’ils pensent, mais ils savent qu’ils doivent respecter les sentiments des
autres. » ( Traduit de Prairie Messenger )

La conférence Orientale Lumen IX s’est tenue du 20 au 23 juin au
centre culturel Jean-Paul II de Washington. Cette rencontre annuelle de théologiens et
responsables orthodoxes et catholiques romains tire son nom de la lettre apostolique de
Jean-Paul II, datée de 1995, Orientale Lumen ( La lumière de
l’Orient ), qui souligne les immenses richesses des Églises orientales et promeut le
retour à l’unité entre l’Orient et l’Occident. Le thème de cette année portait sur les
structures ecclésiales de l’Est et de l’Ouest. Un des conférenciers invités, Mgr
Johan Jozef Bonny, du Conseil pontifical pour la promotion de l’unité des chrétiens, a
demandé si les divergences entre l’Est et l’Ouest au cours du deuxième millénaire sont
« mutuellement exclusives » ou si elles peuvent être perçues « comme
des évolutions différentes, conditionnées par des circonstances historiques
différentes, capables de s’intégrer dans une nouvelle synthèse ». Il a lié
l’évolution de la primauté papale à l’Ouest à la nécessité de l’Église de Rome de
répondre à des défis particuliers concernant l’unité de l’Église dans diverses
circonstances. Alors que des formes de structure ecclésiale dans le premier millénaire
constituent « notre territoire commun, notre patrimoine commun, a-t-il dit,
« les développements du deuxième millénaire devraient aussi faire partie de notre
réflexion commune » dans nos efforts pour envisager la forme que prendrait une
possible unité catholique-orthodoxe dans l’avenir. ( Traduit de Prairie
Messenger
 )

Le 475e anniversaire de la Confession d’Augsbourg de 1530,
déclaration centrale de la réforme luthérienne, a été l’occasion pour le pasteur
Ishmael Noko, secrétaire-général de la Fédération luthérienne mondiale, d’exhorter
au progrès vers l’unité des chrétiens. Augsbourg, a-t-il fait remarquer, a aussi été
le cadre, en 1999, de la signature de la Déclaration commune sur la doctrine de la
justification
par la Fédération luthérienne mondiale et l’Église catholique.
Selon cette déclaration, il existe un consensus sur les vérités fondamentales
concernant la doctrine de la justification, un des points en litige lors de la Réforme.
« Le fait de confirmer la Déclaration commune, a ajouté le pasteur Noko, a établi
un pont œcuménique qui permet au peuple de Dieu d’avancer avec confiance vers de
nouvelles possibilités œcuméniques et de nouveaux horizons. Nous sommes appelés à
trouver des manières de vivre une foi et une vie partagées dans la proclamation de
l’Évangile et un culte qui s’exprime dans une célébration commune de la table du
Seigneur. » La Fédération luthérienne mondiale regroupe 66 millions de chrétiens
dans soixante-dix-sept pays. ( Traduit de Prairie Messenger )

Les Églises orthodoxes s’apprêtent à faire revivre avec une nouvelle vigueur
le dialogue avec l’Église catholique,
a dit le métropolite Ioannis de Pergame
lors d’une visite au Vatican où il était venu à la tête d’une délégation orthodoxe.
Les Églises orthodoxes ont toutes répondu positivement à la demande du patriarche
œcuménique de nommer des délégués auprès d’une commission mixte sur le dialogue
théologique. Le métropolite Ioannis représentait le patriarche œcuménique
Bartholomaios de Constantinople, à l’occasion de la fête des saints Pierre et Paul, le
29 juin. ( Traduit de Prairie Messenger )

L’Église presbytérienne au Canada a été invitée par l’Église
chrétienne réformée en Amérique du Nord à participer à une « conversation
bilatérale, ou dialogue, sur des questions d’intérêt commun et de ministère ».
Les conversations ont débuté au cours de l’année dernière et pourraient conduire à un
partenariat œcuménique plus officiel que l’Église chrétienne réformée appelle
« fraternité ecclésiale » entre les deux confessions. L’assemblée de
l’Église presbytérienne au Canada, cet été, a reçu le rapport et approuvé une
recommandation de poursuivre ce dialogue. ( ecumenism.net&nbsp😉

La petite minorité chrétienne en Israël est particulièrement bien placée
pour promouvoir la réconciliation
entre Juifs et Palestiniens dans le pays, mais
a besoin d’aide pour le faire efficacement, a dit un prêtre catholique melkite de
Galilée lors d’une visite dans la région de Détroit. « J’espère qu’il y a des
chrétiens motivés qui s’intéressent à la survie du christianisme en Terre sainte et au
rôle important qu’elle peut jouer entre la minorité musulmane et la majorité juive,
parce que nous, chrétiens, représentons la voix de la modération » a déclaré le
père Élias Chacour, fondateur du complexe universitaire Mar Elias à Ibillin, Israël.
( Traduit de Prairie Messenger )

Le prix Luminosa pour l’unité 2005 a été présenté au sénateur canadien
Douglas Roche
à Hyde Park, New York, le 7 mai dernier. Le sénateur Roche a
été ambassadeur du Canada pour le désarmement aux Nations Unies de 1984 à 1989 et
président fondateur des Parlementaires pour une action globale, réseau international de
1 200 parlementaires dans quatre-vingt-deux pays. Reconnu à travers le monde pour
son action humanitaire, le sénateur Roche a reçu le prix de la fondation Mahatma Gandhi
pour la paix dans le monde et la médaille d’honneur de l’Association des Nations Unies.
En 1995, le pape Jean-Paul II lui remettait la médaille papale pour ses services comme
conseiller spécial sur le désarmement et les questions de sécurité. Le prix annuel
pour l’unité Luminosa est attribué par les Focolari en reconnaissance de la contribution
remarquable de personnes ou de groupes à l’idéal de l’unité. Parmi les récipiendaires
précédents on compte le cardinal William Keeler, archevêque de Baltimore; Nichiko
Niwano, président de l’organisation bouddhique Rissho Kosei-kai; le rabbin Jack Bemporad,
pour son engagement dans le dialogue judéo-chrétien; l’imam Warith Deen Mohammed, chef
musulman américain, et l’œcuméniste Dr Paul Crow, Jr des Disciples du Christ.
( Traduit de Living City )

Les évêques méthodistes unis des États-Unis ont approuvé un accord sur le
partage de la Cène du Seigneur
avec les épiscopaliens et les luthériens. C’est
le premier pas vers la pleine communion entre les trois Églises. Les représentants de
l’Église prévoient que des accords semblables seront approuvés d’ici un an par
l’Église épiscopalienne et l’Église évangélique luthérienne en Amérique. L’accord
permet au trois dénominations de partager la communion et d’être unies dans le
ministère. Les méthodistes espèrent entrer en pleine communion avec les luthériens
d’ici 2008 et avec les épiscopaliens d’ici 2012. ( Traduit de The Banner )

Pour la première fois, un Canadien jouera un rôle de premier plan au sein de
l’Alliance évangélique mondiale.
Geoff Tunnicliffe est le nouveau directeur
international de l’AEM pour les deux prochaines années. Il a fait partie pendant sept
années du comité Global Leadership de la Commission de l’AEM sur la mission. Il a aussi
été président de International Teams Canada avant de diriger les initiatives
internationales de la Fraternité évangélique du Canada ( FEC ) et s’est
impliqué dans de nombreux projets conjoints de la FEC et de l’AEM. Il a été invité par
l’archevêque de Cantorbéry à se joindre à d’autres représentants chrétiens pour
discuter d’une déclaration commune sur la pauvreté dans le monde lors d’une rencontre
avec le premier ministre de Grande-Bretagne Tony Blair, juste avant la rencontre du G8, du
6 au 8 juillet. Le pasteur Tunnicliffe continuera d’exercer son ministère à la South
Delta Baptist Church en Colombie britannique. ( Traduit de BC Christian News )

Zainab Al-Ghazali, prédicatrice musulmane et activiste, s’est
éteinte le 3 août à l’âge de 88 ans. Elle a préparé plusieurs générations de
prédicatrices qui ont défendu le statut de la femme dans l’islam. Dans sa jeunesse, elle
a fait activement partie de l’Union féministe égyptienne fondée par Hoda Chaarawi en
1923. En 1937, âgée de 20 ans, elle a fondé l’Association des femmes musulmanes, dans
le but d’organiser les activités des femmes selon les normes islamiques et à des fins
islamiques. Les femmes membres de l’Association étaient convaincues que leur religion
leur permettait de jouer un rôle décisif dans la vie publique, d’occuper des emplois,
d’entrer en politique et de s’exprimer. Ghazali a démissionné de l’Association pour
protester contre les idées laïcistes du mouvement de libération des femmes. Elle
défendait ouvertement la Chariah et avait souvent maille à partir avec le régime du
défunt président égyptien Gamal Abdul Naser. Elle laisse le souvenir d’une féministe
musulmane qui plaçait clairement les valeurs islamiques au-dessus des idéologies
laïques et libérales. ( www.IslamOnline.net )

Le Secrétaire général du Conseil œcuménique des Églises, le
pasteur Samuel Kobia, a fait une visite en Russie, une première dans l’histoire de
l’organisation. Des rencontres dans les grand centres orthodoxes dont le monastère de la
Trinité Saint-Serge et l’Académie théologique de Moscou étaient au programme de cette
visite. La délégation s’est rendue au mémorial de Butovo afin d’honorer les milliers de
victimes dont de nombreux membres du clergé et des ordres monastiques qui ont été
fusillés lors des purges staliniennes dans les années 1930. Le secrétaire et le
patriarche Alexis II de Moscou et de toute la Russie, ainsi que le métropolite Kirill de
Smolensk et Kaliningrad, se sont rencontrés mardi le 21 juin. ( Proximo )

Le Patriarcat orthodoxe de Moscou est sur le point de mettre fin à la
division de 80 ans avec l’Église orthodoxe russe hors frontières qui assurait sa propre
gestion depuis le schisme causé par la révolution bolchevique de 1917. L’Église
orthodoxe russe hors frontières a été formée dans les années 1920, principalement par
des exilés qui ont fui la persécution bolchevique, et elle compte neuf diocèses en
Amérique du Nord et du Sud, en Europe occidentale, et dans l’ancienne Union soviétique.
Toutefois, les Églises ont indiqué que la réunification pourrait entraîner une
réduction des liens avec d’autres Églises chrétiennes. Selon le plan de rapprochement
des Églises, l’Église hors frontière deviendra une partie autonome de l’Église
orthodoxe russe, qui est dirigée par le patriarche de Moscou et de toute la Russie. Les
déclarations, décisions officielles et les courriers exprimant le rejet mutuel depuis
les années ’20 ne seront plus considérés comme valides une fois que la communion
complète sera rétablie. ( Traduit de ENI )

Le Centre Unité, un nouveau lieu de rencontres, a été inauguré à
Rotselaar en Flandres belges par les membres du mouvement Focolari. Déjà actif dans le
dialogue œcuménique et avec les musulmans et les juifs, l’objectif de ce centre est
d’aider à « consolider les relations qui aident à croire que ce qui nous lie
représente davantage que ce qui nous éloigne les uns des autres » comme l’a dit un
responsable des Focolari. ( La Croix )

L’Église adventiste du septième jour a pour la première fois élu
une femme à la vice-présidence de l’Église. Lors d’une conférence de presse tenue le 4
juillet, Ella Simmons, originaire de Louisville, dans le Kentucky, a rappelé qu’elle
avait été l’une des premières Afro-américaines à fréquenter une école sans
ségrégation, et elle a salué le désir de son Église d’avoir un leadership plus ouvert
à tous. L’Église compte 14,3 millions de membres adultes baptisés dans plus de 200
pays, et elle estime que quelque 25 millions de fidèles assistent à ses services
hebdomadaires. ( ENI )

Le Conseil œcuménique des Églises ( COE ) a inauguré un
nouveau centre de recherche œcuménique près de Genève qui, espère-t-il, permettra
d’accroître la compréhension entre les personnes et entre les religions du monde. Le
centre élargira les capacités de recherche académique du Conseil en matière
d’œcuménisme et de théologie, et complétera le site principal de la bibliothèque et
des archives qui se trouvent au siège du COE à Genève. La bibliothèque contient plus
de 130 000 livres et périodiques ainsi que des milliers de documents d’archives,
photos et vidéos couvrant l’histoire du mouvement œcuménique du XIXe siècle
à aujourd’hui. Le site web de la bibliothèque est : [http//library.wcc-coe.org].
ENI )

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